Sur les marchés des matières premières agricoles, le cacao s’est envolé. En cause : les mauvaises récoltes dues aux intempéries qui ont entraîné une hausse des prix du chocolat.
Depuis le début de l’année 2024, les anticipations du marché concernant la baisse des taux d’intérêt américains ont fortement évolué. Les prévisions optimistes d’une baisse de six quarts de points ont été ramenées à moins de deux d’ici la fin de l’année.
La Chambre des représentants américaine a approuvé un projet de loi visant à interdire TikTok des app stores aux États-Unis, à moins que la société mère chinoise du réseau social, ByteDance, n’accepte de céder l’application.
L’intelligence artificielle générative et son potentiel de transformation pour les industries et la planète tout entière a fait couler beaucoup d’encre. Les investisseurs prêts à financer cette nouvelle technologie révolutionnaire ou plus simplement à spéculer sur son succès ont injecté des milliards de dollars.
Donald Trump a devancé sa rivale dans la course à l'investiture des Républicains lors de la primaire en Caroline du Sud. Avec pas moins d’une douzaine de primaires prévues début mars lors du « Super Tuesday », les pronostics penchent déjà vers un second mandat de Donald Trump.
Dans certains domaines de la tech, les résultats sont tellement stratosphériques que les analystes parlent de plus en plus « d’exubérance irrationnelle », comprenez des marchés à ce point euphoriques qu’ils devancent les prévisions de résultats plus rationnelles.
Les marchés ont dû revoir leurs prévisions économiques optimistes du mois dernier, alors que la Réserve fédérale américaine (Fed) avait donné son feu vert à une baisse des taux d’intérêt.
Il s'agit de la plus grande année électorale mondiale de l'histoire. Plus de 60 pays vont se rendre ou sont susceptibles de se rendre aux urnes au cours de l’année 2024, ce qui représente 48 % de la population mondiale.
Les marchés ont salué le point d’inflexion des taux d’intérêt après les commentaires conciliants du Président de la Réserve Fédérale Américaine, Jay Powell. Les anticipations d’une baisse des taux à plusieurs reprises en 2024 ont déclenché une envolée des marchés financiers.
Selon un vieux dicton prononcé par l’homme d’État anglais Oliver Cromwell, au 17e siècle, lors du ralliement de ses hommes qui partaient au combat, il vaut mieux « garder sa poudre sèche ».
Les marchés d'actions et d'obligations ont étonnamment bien progressé. Pour quelle raison ? Les marchés ont perçu un ton plus accommodant de la part de la Réserve fédérale américaine (Fed).
La récente progression des marchés financiers a été alimentée par l’espoir d’un atterrissage en douceur des grandes économies de la planète. Qu'est-ce que cela signifie ?
Voilà ce qu'a déclaré le président de la Réserve fédérale américaine (Fed) à propos de l'économie américaine. Malgré tous les efforts de la banque centrale, qui a relevé ses taux de plus de cinq points de pourcentage en seulement 18 mois, l’économie américaine paraît inarrêtable.
Ces dernières décennies ont été marquées par une série d’événements sans précédent, poussant certains à affirmer que le monde se trouve dans un état de « permacrise ». Face aux chocs exogènes frappant leurs économies nationales, les gouvernements ont de plus en plus fait appel à l’emprunt pour financer la sortie de ces crises successives.
Ces dernières années, marquées par la pandémie mondiale et les tensions géopolitiques, ont été caractérisées par une période de démondialisation du commerce mondial. Toutefois, malgré la perturbation de l'ordre commercial établi, avec ses chaînes d'approvisionnement étendues, de nouveaux modèles commerciaux continuent d'émerger.
Les marchés parlaient de moment important, alors que les banques centrales occidentales semblaient faire une longue pause dans leur cycle de hausse des taux. La Réserve fédérale américaine (Fed) et la Banque d'Angleterre ont laissé leurs taux inchangés, une semaine après que la Banque centrale européenne (BCE) ait relevé ses taux, peut-être pour la dernière fois au cours de ce cycle.
Alors que les températures estivales montaient en flèche dans l’hémisphère nord, le secrétaire général des Nations Unies a affirmé que le monde était entré dans l’« ère de l’ébullition mondiale ». L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a déclaré en juin que la consommation de pétrole avait atteint 103 millions de barils par jour (mb/j); soit le chiffre le plus élevé jamais enregistré, rappelant ainsi que l’énergie était nécessaire pour la climatisation et le chauffage.
Le projet de loi sur l’énergie propre du président Biden, connu sous le nom de Loi sur la réduction de l’inflation (Inflation Reduction Act), a fêté son premier anniversaire. La législation, qui prévoit jusqu’à 369 milliards de dollars US d’allégements fiscaux et de subventions, a propulsé les États-Unis au rang de chef de file mondial des technologies vertes, en plus de faire progresser ses objectifs de zéro émission nette d’ici 2050.
Les « Magnificent Seven » de la big tech continuent de dominer l'indice S&P 500. Apple, Microsoft, Alphabet, Amazon, Nvidia, Tesla et Meta représentent désormais environ 30 % de l'indice. Le plus performant d'entre eux a été Nvidia, le fabricant de superpuces, dont le cours de l'action a plus que triplé depuis le début de l'année.
Après la pause que la Réserve fédérale américaine (Fed) a marquée au mois de juin, celle-ci a repris le chemin de la hausse des taux d'intérêt, procédant à la onzième augmentation en douze réunions et atteignant son plus haut niveau depuis 22 ans. L'inflation s'étant récemment rapprochée de l'objectif des 2 % de la Fed, le pic de ce cycle de taux pourrait-il enfin avoir été atteint ?
On dit souvent que placer tous ses œufs dans un même panier est une stratégie d’investissement risquée. Et qu’une gamme diversifiée d’investissements permet de répartir le risque inhérent aux marchés financiers.
Le président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Jay Powell a qualifié l’absence d’un relèvement des taux d’intérêt en juin comme une « omission » et non une « pause », alors que les « dot plots » de la Fed évoquent deux nouvelles hausses de taux cette année.
Les marchés financiers se sont négociés dans une fourchette de prix étroite au cours des dernières semaines. Les professionnels des marchés attribuent ce phénomène à l’impasse sur la question du plafond de la dette américaine, qui a incité l’agence de notation Fitch à mettre les États-Unis sous surveillance en vue d’une éventuelle dégradation de leur note AAA.
Après des décennies de marasme, la Bourse japonaise a fait son grand retour sur la liste des marchés les plus populaires, en atteignant son plus haut niveau depuis 33 ans. Les investisseurs internationaux semblent désireux de participer au rebond de l’Archipel, qui a enregistré six semaines successives de gains.
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