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Article | 05 juillet 2017 | Billets des gérants
Une étude récente sur l’épargne des français révèle que les fonds d’investissement paraissent « obscurs » aux yeux des français. Il apparaît même que les actions ne font pas partie du paysage naturel de l'épargnant. Convaincu qu'elles ne s'adressent qu'à des « boursicoteurs », les français ignorent les actions considérant qu’elles sont bien éloignées de leur profil d’épargnant.
Partant de ce constat, nous avons pensé qu’il pouvait être intéressant d’adopter un ton plus léger dans ce billet d’été pour décrypter quelques expressions boursières très répandues.
« Ne jamais tomber amoureux de ses actions »
Il peut être judicieux de savoir raison garder quand on investit sur des titres vifs comme les actions. Il ne faut pas se laisser séduire par un titre sans analyser le projet de l’entreprise et sans garder en tête les principes élémentaires de diversification. C’est bien connu, l’amour rend aveugle !
Les bourses sont des lieux où l’offre et la demande de capitaux se confrontent. Le prix résultant de cet échange permet la transaction. Un bon pari boursier ne tient jamais du consensus mou. En d ‘autres termes, mieux vaut avoir des vues tranchées pour décider de choix clairs.
Il est toujours facile de regarder la performance des actions a posteriori et cela peut conduire à quelques frustrations… ah si j’avais su !
La meilleure des solutions consiste à épargner régulière-ment et à faire confiance à des professionnels de l’investissement pour ne rien regretter.
Ce proverbe est encore souvent utilisé. Il témoigne de l’emprise du géant américain sur les évolutions des marchés boursiers notamment d’actions.
A l’heure où la capitalisation boursière des FAANG’s (Facebook, Apple, Amazon, Netflix et Google) pèsent autant que le PIB français, soit un peu plus de 2400 Mds, cette maxime reste vraie même si on pourrait aussi englober Francfort, Milan, Madrid à la place de Paris.