You are using an outdated browser. Please upgrade your browser to improve your experience.
Article | 29 décembre 2018 | Billets des gérants
Ce sont les trois Licornes françaises les plus connues parmi les 290 recensées à ce jour (selon le cabinet CB insights). Le terme Licorne a été inventé en novembre 2013 par Aileen Lee, la fondatrice d’une société de capital-risque dénommée Cowboy Ventures.
A l’époque, cette jeune femme publie un rapport faisant apparaître que très peu de sociétés technologiques, dans lesquelles les fonds de capital-risque investissent, atteignent une valorisation supérieure à 1 milliard de dollars.
Elle décide de les appeler Licorne pour qu’elles soient perçues comme quelque chose de magique, puissant et rare. Il est vrai que les licornes ont matière à séduire les fonds d'investissement avec des indicateurs financiers non conventionnels et des business models prometteurs liés aux métiers de demain. Rappelons que la licorne est une créature légendaire à corne unique. Son origine est assez controversée et résulte de récits d'explorateurs liés à des descriptions d'animaux comme le rhinocéros et l'antilope. La licorne est parfois décrite comme un animal très féroce, symbole de pureté et de grâce. Dotée d'un corps équin, d'une barbiche de bouc, c’est sa longue corne pointue au milieu du front qui constitue sa principale caractéristique.
Ce mot court et imagé s’est vite imposé, mais d’autres dénominations ont vu le jour entre temps. Ainsi, certaines jeunes pousses se voient aujourd’hui nommées zèbres, pentacornes ou encore de cafards. Les zèbres sont des starts-up rentables qui améliorent la société. Très rares, les pentacornes sont les starts-up valorisées à plus de 50 milliards de dollars (ex : Uber, ByteDance et le chinois Didi Chuxing). Enfin, les cafards sont des petites starts-up qui développent des offres sur des marchés de niches très particuliers et qui ont une forte résilience et ceci quel que soit l’environnement.
L’équipe de gestion*
Achevé de rédiger le 12 décembre 2018