Malgré des sondages au coude à coude, Donald Trump a remporté une victoire décisive à l'élection présidentielle américaine. Son parti républicain s'est assuré le contrôle du Sénat et semble en passe de conquérir la Chambre des représentants (House of Representatives), lui conférant ainsi les leviers nécessaires pour mettre en œuvre son programme politique.
L’élection présidentielle américaine se tiendra le mardi 5 novembre. Les sondages montrent que l’actuelle vice-présidente Kamala Harris et l’ancien président Donald Trump ne sont séparés que par une marge des plus étroites.
La Réserve fédérale américaine (Fed) a abaissé ses taux directeurs de 50 points de base (pb), les ramenant dans une fourchette de 4,75% à 5%. Il s'agit de la première baisse depuis 2020, dépassant de 25 pb la plupart des prévisions économiques, y compris les nôtres.
Les investisseurs en obligations ont été malmenés au cours des deux dernières années, 2022 étant la deuxième année consécutive de rendements négatifs pour les détenteurs de titres à revenu fixe. Cependant, cette vague de vente prolongée pourrait désormais signifier que les obligations ont retrouvé leur attrait.
En prenant ses fonctions, le président Joe Biden espérait être le président le plus écologique de l’histoire des États-Unis, avec des projets ambitieux pour lutter contre la menace du changement climatique. À chaque étape du processus cependant, le Congrès et la Cour suprême lui ont fait barrage.
Le dollar américain est la monnaie de réserve mondiale, depuis que la livre sterling a perdu ce statut il y a près de 80 ans, et domine le système de paiement international. Quels sont les facteurs qui poussent cette monnaie déjà dominante à la hausse ?
Alors que le monde est confronté au défi de la transition vers un avenir sans carbone d’ici à 2050, les entreprises subissent des pressions pour exploiter leurs activités de manière plus durable afin d’atteindre d’ambitieux objectifs net zéro.
L’année 2022 s’avère être une année difficile pour les investisseurs. L’inflation, alimentée par les perturbations continues de la chaîne d’approvisionnement et les mesures de relance post-pandémie, est montée en flèche pour atteindre des niveaux jamais vus depuis 40 ans dans de nombreux pays. Elle a ensuite été exacerbée par la montée en flèche des prix des produits de base suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Le défi énergétique : bien que le monde se soit engagé à réduire sa dépendance à l’égard des combustibles fossiles, nous n’avons pas suffisamment investi dans des substituts sans émission carbone.
Aux Etats-Unis, le taux à 10 ans est passé en quelques semaines de 1,50 % à 2,70 %. Une flambée alimentée par l'inflation et les perspectives de resserrement de la politique monétaire. Les conséquences de cette remontée abrupte dépassent largement le marché de la dette américaine. Et suscitent de nombreuses interrogations.
La Réserve fédérale américaine (Fed) a beaucoup utilisé le terme « transitoire » pour décrire l’inflation l’année dernière, avant de l’abandonner. Cette année, la plus grande préoccupation pourrait être l’inflation dite « intégrée ».
Il y a un an, la première hausse de taux post-pandémie était prévue pour avril 2024. Aujourd’hui, les marchés anticipent quatre hausses de taux en 2022. Pourquoi cette intervention est-elle soudainement nécessaire et quels sont les risques ? Et pourquoi est-ce important pour les marchés financiers ?
La conférence des Nations unies sur le changement climatique (COP26) a réuni à Glasgow des dirigeants de plus de 120 pays. Nous vous proposons ici de revenir sur les principales conclusions de la conférence et ce qu’elles peuvent signifier pour les investisseurs.
La conférence des Nations unies sur le changement climatique (COP26) a réuni à Glasgow des dirigeants de plus de 120 pays. Elle a été décritecomme « la dernière et la meilleure chance » de maîtriser le changement climatique, en sensibilisant l’opinion publique et en encourageant de nouvelles actions pour lutter contre cephénomène. Nous vous proposons ici de revenir sur les principales conclusions de la conférence et ce qu’elles peuvent signifier pour les investisseurs.
Nous clôturons notre série de 5 mythes sur l’intégration des critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) en abordant un sujet aujourd’hui au cœur de l’actualité : celui de l’absence d’harmonisation des méthodologies de notation et la question de leur fiabilité.
Pour le quatrième article de notre série visant à démentir certains mythes persistants autour des stratégies d’investissement intégrant les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG), nous allons nous intéresser à l’application de l’investissement responsable au sein des différentes classes d’actifs.
Après avoir démontré que les solutions d’investissement intégrant les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) ne sous-performaient pas, et que l’Investissement Responsable était loin d’être une mode passagère, attaquons-nous dans ce troisième article à l’idée reçue selon laquelle l’intérêt pour l’investissement durable se limite essentiellement à la génération des millennials et aux femmes.
Au cours des dernières décennies, nous avons assisté à une prise de conscience de plus en plus importante des défis posés par la durabilité. Dans un monde en pleine évolution, l’utilisation efficace des ressources devient une nécessité qui conditionne la pérennité de notre espèce.
La crise sanitaire que nous traversons actuellement a bouleversé maints aspects de notre quotidien, y compris notre vie professionnelle. Le 17 mars a signé le début d’une nouvelle ère, l’occasion pour les entreprises de lancer ou d’accélérer leur digitalisation pour permettre à leurs collaborateurs de travailler à distance.
L’abonnement est depuis plusieurs années le mode de consommation naturel de services tels que le téléphone, internet, le gaz, l’électricité, le transport ou encore la presse. Depuis quelques années, les services et produits qui évoluent vers ce business model se multiplient, boostés par la révolution numérique.
L’investissement thématique est une stratégie qui s’intéresse à des thèmes d’investissement, c’est-à-dire des secteurs présentant un potentiel de surperformance par rapport à l’ensemble du marché. Contrairement aux stratégies qui se concentrent sur des régions géographiques, les stratégies thématiques sont plus transversales et s’intéressent à des tendances de fond s’inscrivant sur le long terme.
Depuis l’annonce du confinement par le président, les entreprises traversent une crise sans précédent. Elles sont confrontées à un double enjeu : la protection des salariés d’un côté et la poursuite de l’activité de l’autre.
La « silver economy », ou l’économie du vieillissement, est l’une des tendances les plus permanentes et les moins cycliques. En effet, la population des seniors connaît une forte croissance : en 2050, 20 % de la population mondiale aura plus de 60 ans d’après l’OMS.
Les discussions sur la robotique prennent souvent une tournure manichéenne. Tantôt perçus comme présentant une menace suprême contre l’humanité, tantôt comme nos meilleurs alliés, les robots font aujourd’hui partie intégrante de notre vision du futur.
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